J'avais expliqué dans des billets précédents que nous avions laissé volontairement le mur arrière non couvert car nous n'avions pas encore "décidé" de la hauteur définitive de ce mur. En fait, c'est assez complexe. Si nous prenons en compte le terrain avant son remblaiement, il manque 15 cm (moins d'une hauteur de parpaings). Si nous prenons en compte le terrain après remblaiement, c'est 60 cm (soit 3 rangées de parpaings) qu'il manque. J'ai mis "décidé" entre guillemets, car il ne nous appartient pas de décider mais de construire selon ce qui figure dans le permis de construire modificatif. Hors, nous avions compris, après avoir rencontré un conseiller des services de l'urbanisme, qu'on prenait le terrain en l'état, donc après son remblaiement. Même discours du côté de notre juriste. Finalement, le discours semble avoir changé et nous avons retenu l'hypothèse "avant remblaiement". Il nous aurait donc fallu monter notre mur de 15 cm. Plutôt compliqué, car nous aurions dû faire un coffrage et bétonner. Comme notre mur est déjà assez haut et que les services de l'urbanisme sont plutôt tolérants, nous avons finalement décidé de le laisser tel qu'il est.
Pour le couvrir, comme il s'agit d'un mur qui sera caché par le cabanon et la verdure, nous avons décidé d'utiliser des tuiles de récupération qu'un voisin nous a donné. Les tuiles étant trop longues, en concertation avec les services de l'urbanisme, je les les ais raccourcies de quelques centimètres à la tronçonneuse. Voilà le résultat. Pas très esthétique, mais le but était de protéger le mur de la pluie.
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