Gérer les stocks 1/3

 

07/04/2013

Nous avons fait à peu près le maximum de ce que nous pouvions faire. Le terrain est en pente et nous n'avons toujours pas résolu le problème du mur commun de séparation avec nos voisins, mur qui devra retenir notre terre : il y a un mètre de dénivelé entre les deux propriétés et le mur de retenue devra avoir des fondations conséquentes. Les voisins ont mis provisoirement une palissade pour cacher un peu la vue (visible tout au fond). Bref, nous restons avec notre tas de terre végétale (visible sur ce cliché) que nous ne pouvons pas aplanir et 2 à 3 mètres cube de gravas, derrière la terre végétale, qu'il nous faudra peut-être évacuer. Ainsi, nous ne pouvons pas finir de paver le long de la maison (au fond à gauche).

Bilan de cette phase des travaux : nous avions commandé au "Roy-Merlin" ou chez Leroy-Merlin :

•  2 "big bags" de sable, soit 1500 kg, pour mettre sous les pavés.
• 4 palettes de pavés pour une surface de 40 mètres carrés.
• 60 sacs de béton, à 30 kg le sac, pour nos 2 dalles entre portail et garage.
• 7 sacs de ciment, à 35 kg le sac, pour sceller les pavés sur les 2 dalles bétonnées.
• 4 panneaux treillis soudés pour l'armature des 2 dalles bétonnées.
• 1 rouleau de géotextile pour éviter que l'herbe ne pousse entre les pavés.
• 1 rouleau de film sous-dalle.

 Au final, nous avons utilisé les 1500 kg de sable et il va nous en manquer un peu pour poser les derniers pavés quand nous aurons résolu le problème du mur de retenue. Il nous restera certainement des pavés qui pourrons toujours nous servir pour autre chose. Nous avons ramené au "Roy-Merlin" 6 sacs de béton, 2 sacs de ciment et le film sous-dalle que nous n'avons pas utilisé. Remarque intéressante : nous avons aussi rapporté les 6 palettes des "big bags" et des pavés, qui étaient consignées à 23€ la palette.
Nous concluons qu'il n'est pas aisé de prévoir avec exactitude la consommation des matériaux. Pour le sable qu'il va nous manquer, nous avons dû en utiliser de manière excessive pour rattraper la géométrie très variable de notre terrain et aussi, confessons-le, notre incapacité à utiliser la terre que nous avions pourtant en trop. Globalement, ça s'est quand même passé de manière très satisfaisante !